Livre-Objet Editions Hillwater-Square

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Portes Cochères de l’Imaginaire

par Erick Gaussens-Hillwater (poèmes, photos, images)

Reliure : Dos Carré Collé Cousu avec couture apparente (fil rouge)

Format : 24 x 17 cm à l'italienne, 330g

Nombre de pages et d’illustrations : 104 pages, 49 photos, 49 images plus couverture dessinée par Marie Bondeele

Types de papiers : Intérieur: impression quadri recto verso sur Fedrigoni Arena white rough 140 g/m² / Couverture: impression noir recto verso sur Fedrigoni Tintoretto Ceylon Cumino 350 g/m²

Conseil édition et texte de présentation : Brigitte Trichet , Conception graphique : Marie Bondeelle, Conseil en fabrication : Thomas Gingreau

Dépôt légal : à parution

ISBN : 978-2-9584215-0-2

Imprimeur : IMPRIMERIE PROUTEAU, France Août 2022

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Présentation et messages de l’équipe qui a créé ce livre

Présentation Par Brigitte Trichet (Editrice et Conseil en Edition)

« Racines, cultures, émotions… Les couleurs, les traits, les sujets s'imposent à moi aussi naturellement que je respire. La musique, l’écriture de poèmes, la capture et l’interprétation d’images du quotidien ou glanées dans des promenades et voyages, sont inscrits au plus profond de moi. » Erick Gaussens-Hillwater.

On sait que les scientifiques sont aussi des poètes. Il faut une imagination sans limite pour imaginer le monde tel qu’il se dérobe au regard, tel qu’il se déploie hors de notre portée immédiate. Il faut savoir laisser libre cours à la puissance de sa créativité pour se déplacer dans d’autres espaces et d’autres temps.

Erick Gaussens fait partie de ces scientifiques qui ont su déployer cette capacité, comme Albert Einstein déambulant à bicyclette sur les routes de la campagne suisse, à réenchanter leur monde, leur quotidien.

Parfois, il n’est nul besoin d’aller à l’autre bout de la terre. L’espace de son esprit suffit pour voir de nouvelles images se former. C’est dans le silence intérieur que les voyages, les rencontres, les paysages et toutes les images qui nous habitent, resurgissent.

« L’axe normal de la rêverie cosmique est celui le long duquel l’univers sensible est transformé en un univers de beauté », nous dit Gaston Bachelard.

C’est dans une même rêverie que s’est sans doute installé Erick Gaussens pour produire ce kaléidoscope visuel qui nous entraîne dans les méandres de sa poésie. Cette poésie naît dans un va-et-vient permanent entre les choses qui l’entourent et les émotions qu’elles lui procurent.

Ainsi, ses images se veulent comme l’expression de ses sentiments les plus profonds. Elles se télescopent, elles dialoguent entre les mots, entre les poèmes, au travers des musiques.

Erick Gaussens s’attache à des fragments, à des interstices, à des sons, à tout ce qui, fugace, laisse en nous des impressions.

Ce n’est pas pour rien qu’il a choisi d’appeler cet opus les portes cochères de l’imaginaire : il nous suggère comment franchir, à ses côtés, muni de clés magiques à inventer, tout un monde nouveau qui s’offre au regard.

La photographie est une histoire de propagation de la lumière sur une surface sensible. Une réflexion à double jeu : « Il s’agit de réfléchir sur, ou à propos de, mais aussi de laisser la pensée rebondir sur elle-même.[1] » C’est ce que fait Erick Gaussens autour de trois variations oniriques, Amoncellements, Banalités et Lieux Communs, qui fusionnent pour faire corps et matérialiser ainsi un rêve éveillé. Un accord enfin trouvé entre le monde extérieur et le monde intérieur, un relais entre deux mondes, le visible et l’invisible.

[1] Étienne Klein, in Le pays qu’habitait Albert Einstein (Actes Sud, 2016)

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Le message de Marie Bondeelle (Graphiste et Illustratrice)

Sobre, géométrique, la couverture en noir et blanc.

Au centre, une forme oblique sépare l’espace en deux, créant relief et profondeur. C’est une porte vers l’ailleurs, un pas de côté pour sortir du cadre.

De part et d’autre, les espaces en miroir se répondent, en écho aux diptyques de l’artiste. Linéale et allongée, la typographie plante le décor, elle agit comme une signature. Chaque partie s’ouvre sur un fond noir duquel émerge une vision.

De page en page, le cadre est notre fil rouge.

Mouvant, en miroir, il distribue l’espace, joue l’alternance des contrastes, et rythme notre progression jusqu’à l’ellipse.

Le message de Thomas Gingreau (Conseil en fabrication)

Des fibres de bois, de l’eau et des bases minérales sont les trois ingrédients nécessaires à la fabrication de la matière papier. À partir de cette recette, des milliers de références sont produites, chacune présentant une main, un toucher, une texture et une blancheur spécifiques.

Ce livre a été imprimé à 300 exemplaires sur les presses de l’imprimerie Prouteau. Le papier de couverture est un Fedrigoni Tintoretto Ceylon Cumino 350 g/m2. Le papier d’intérieur est un Fedrigoni Arena white rough 140 g/m2.

Sélectionnés avec l’auteur, ces papiers contribueront – du moins l’espérons-nous – au jeu de résonance entre le fond et la forme.